- Depuis plusieurs jours, des messages faisant allusion à la spoliation d’une parcelle appartenant à la famille Nakajambi Mugozi Zirebuka circulent sur les réseaux sociaux, citant nommément l’actuel ministre du budget Aimé Boji Sangara comme auteur de la dite spoliation.
En réaction, la succession Nakajambi dénonce une récupération politicienne autour du dossier de la vente de leur parcelle par des personnes mal intentionnées avec l’objectif de nuire au ministre Aimé Boji.
À travers un communiqué signé parMaître Christophe Mushiganya, l’un des Avocats Conseils de la succession Nakajambi indique que cette parcelle et l’immeuble y construit sont ses biens et que celle-ci dispose de tous les attributs du droit de propriété sur cet immeuble, tel que le vendre, le céder gratuitement ou à titre onéreux, le donner en location, etc.
» Avec étonnement, la famille Mugozi Zirebuka et la Succession Nakajambi Sazabija ont suivi certaines publications des personnes mal intentionnées méconnues de la succession Nakajabi Sazabija revendiquant un quelconque droit de propriété imaginaire sur un immeuble appartenant exclusivement à cette succession, sis à Bukavu, Avenue Patrice Emery Lumumba à Nguba. Cet immeuble étant un bien de la succession Nakajabi Sazabija en vertu des titres de propriété en son nom, celle-ci dispose de tous les attributs du droit de propriété sur cet immeuble, tel que le vendre, le céder gratuitement ou à titre onéreux, le donner en location, etc » peut-on lire dans ce communiqué.
Sur ce, la succession déplore que des personnes sans titre ni droit, étrangères à elle s’évertuent à lancer sur des réseaux sociaux des messages de nature à vouloir s’opposer à toute forme de disposition sur cet immeuble.
« La succession Nakajambi Sazabija met en garde quiconque s’évertuerait à citer abusivement les noms de certaines personnalités sur les réseaux sociaux et sur les calicots, dont son Excellence Monsieur Aimé Boji Sangara et pour des fins de récupération politicienne, et n’hésitera à saisir les instances judiciaires » écrit l’avocat conseils de la succession.
La succession Nakajambi met aussi en garde les auteurs des calicots sur lesquels le nom du ministre Aimé Boji Sangara est abusivement cité.